Jean-Baptiste Andrea
Une carrière en deux étapes, Jean-Baptiste Andrea, l’Art de se réinventer :
Des débuts réussis dans le Cinéma
D’origine franco-italienne c’est dans l’idyllique décor cannois que Jean-Baptiste Andrea fait ses premières armes, plus précisément à l’Institut Stanislas, où il pratique pour la première fois expérience de scène et écriture. Fort de ses premières années académiques, il poursuit son apprentissage à l’institut d’études politiques de Paris puis à l’ESCP, où il est respectivement diplômé en 1993 puis 1996. Jean-Baptiste Andréa se fait connaître dans un premier temps pour ses chefs-d‘œuvres cinématographiques, où il officie en qualité de réalisateur et de scénariste. En premier lieu avec Dead End, qu’il réalise en la bonne compagnie de Fabrice Canepa. Un thriller qui trouve rapidement un public bien accroché et qui recevra de nombreux titres notamment en Amérique.
Le lauréat du Prix Goncourt 2023
Mais aujourd’hui c’est bel et bien dans le monde de la littérature qu’il brille. Avec tout d’abord son premier roman « Ma Reine » sorti en 2017, il se redécouvre une passion qu’il partageait déjà dès ses 9 ans. Sans nul doute inspiré de ses origines italiennes et de sa sensibilité pour la sculpture d’où il puise ses inspirations. Des origines et un amour qui se retrouvent à travers son plus grand chef d’œuvre : « Veiller sur Elle ». C’est grâce à la récente parution de ce roman des plus immersifs, qu’il atteindra le Graal de la littérature française : le prix Goncourt (2023). Un succès qui n’aurait peut-être jamais vu le jour sans l’intervention d’une grande femme très appréciée du milieu, Sophie de Sivry, éditrice de l’iconoclaste. Une femme qui laissera sans en douter une empreinte forte auprès de notre fine plume cannoise. Une récompense méritée pour un roman souvent désigné comme majestueux et follement romanesque selon ses lecteurs.
Un lien cannois qui ne s’est jamais rompu :
Aujourd’hui encore, Jean Baptiste-Andrea s’investit pleinement dans son rôle de talent cannois qui s’illustre par des rencontres inspirantes dans cette même ville qui a servi de berceau à sa créativité.
Mais plus encore, par sa participation en tant que président du Jury au Festival d’Art Pyrotechnique de Cannes durant l’été 2024, un poste parfait pour un homme dont le talent brille de mille feux.
Une implication qui s’explique facilement par sa définition de Cannes :
« Cannes, pour moi, c’est une douceur et une tendresse que personne ne soupçonne. »